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40% des étudiants sont considérés comme dépendants de leur smartphone, quelles sont les répercussions ?

Une enquête qui n’a rien de très surprenant, mais qui reste intéressante.

Trop longtemps mis de côté, les étudiants se retrouvent aujourd’hui au coeur de l’actualité, et ce quelque soit le sujet. Aujourd’hui nous allons évoquer une étude réalisée par l’University College London qui révèle que 40% des étudiants sont considérés comme étant dépendants de leur smartphone. Rien de très surprenant en cette époque où notre quotidien est de plus en plus numérisé que ce soit pour étudier, travailler, commander à manger, se divertir, et même faire du sport.

Cependant, cette étude met le doigt sur le lien entre cette dépendance au smartphone et la qualité du sommeil. Afin de mieux comprendre comment cette étude s’est déroulée, il faut d’abord savoir qu’elle a été menée auprès de 1043 personnes âgées de 18 à 30 ans. Ensuite, ces jeunes adultes ont dû remplir un questionnaire afin de mieux cerner leur rapport au smartphone. Dans un second temps, ils ont également été invités faire le test du Pittsburgh Sleep Quality Score, pour finalement mettre en relation les deux tests et tenter de repérer des liens. Il fallut 40 jours pour présenter la version finale de cette étude.

Connaissez-vous la phobie de la batterie faible ?

Les résultats estiment que 39% de ces jeunes sont considérés comme dépendants à leur smartphone. Mais surtout, l’étude démontre que la plupart de ces 39% souffrent également de troubles du sommeil. Les chercheurs de l’University College London observent également que ces personnes ressentent des sentiments négatifs tels que l’anxiété lorsqu’ils se trouvent loin de leur smartphone.

En parallèle à cette enquête, une étude réalisée par Opinion Way pour Oppo démontre que le fait de tomber en panne de batterie est devenu une véritable phobie pour 64% des 18 à 24 ans et 53% des 25 à 35 ans. Cette étude révèle que l’Île-de-France est particulièrement concernée par cette angoisse puisque 38% des Franciliens ne supportent pas que la batterie de leur smartphone se vide. Cette phobie d’un nouveau genre pousse même 42% des personnes concernées à se mettre en retard plutôt que de partir avec une batterie à moitié pleine.

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